La France connaît une crise automobile jusqu’alors inédite. Lors du premier semestre 2022, les immatriculations ont chuté de 16,34% par rapport à 2021, et ce n’est rien comparé à l’année 2019 où les immatriculations ont reculé de 33,82%. L’année 2022 voit plonger les ventes automobiles En 2 ans, le marché automobile français a perdu environ un tiers de ses immatriculations. L’année 2022 devrait donc accuser un bilan désastreux de 1,5 million de véhicules de moins que l’an passé. En cause, les nombreuses crises apparues ces dernières années (Covid, guerre en Ukraine, pénurie de semi-conducteurs, inflation, etc.). Cependant, le nombre d’immatriculations varient selon les constructeurs automobiles. Le groupe Stellantis (Peugeot, Citroën, Fiat, Jeep, etc.) enregistre une baisse de 16,94% en juin 2022 contre 14,24% en moyenne sur le marché pour la même période. Seule la marque Alpha Romeo connaît une hausse (+34,36%). Toutes les autres ont subi des replis plus ou moins importants : Citroën : -29,37% Fiat : -24,88% Jeep : -55,19% Peugeot : -4,85% Etc. En revanche, le groupe Renault avance dans cette crise à contre-courant puisqu’il connaît une progression de ses ventes de 4,09%. Les ventes de Renault sont restées stables (-0,76%). Toutefois, les ventes de Dacia sont en hausse de 15,88%. Du côté des véhicules importés, le repli des immatriculations est encore plus important. Volkswagen Group accuse une chute globale de ses immatriculations de 36,95% (Audi : -38,63%, Porsche : -7,63%, Volkswagen : -38,86%, Cupra : +9,71%, etc.). Les marques BMW, Mini mais également Toyota, Lexus, Land Rover, Tesla ou encore Suzuki ont perdu des immatriculations sur le mois de juin 2022. Peu de marques importées enregistrent des progressions, c’est le cas notamment de Nissan et Mercedes. La production de voitures s’effondre en Russie En mai 2022, la production automobile russe s’est effondrée de 96,7%. Une chute sans précédent puisque seulement 3720 voitures ont été assemblées contre 112 000 environ en mai 2021. Le secteur dépend, en grande majorité, des investissements et des équipements étrangers. Seulement, la pénurie mondiale de semi-conducteurs mais également la guerre déclarée à l’Ukraine ont eu raison de la production automobile russe. Bien que la Russie ne soit que le 11ème pays producteur d’automobiles au monde, l’effondrement de sa production est également à l’origine du manque cruel de véhicules neufs à la vente en France. Comment pallier ce manque de véhicules disponibles sur le marché ? Aujourd’hui et encore pour plusieurs années, les entreprises et automobilistes devront trouver d’autres solutions pour disposer d’un véhicule. Bon nombre d’entre eux se tournent d’ores et déjà vers l’achat d’occasion. Une solution parfaite pour les automobilistes souhaitant disposer de leur propre véhicule. L’achat d’un véhicule d’occasion leur a également permis d’éviter des délais d’attente à rallonge pour la livraison d’un véhicule neuf notamment. Par contre, leur prix d’achat est généralement bien supérieur à celui pratiqué auparavant. Une autre solution se dessine, il s’agit de la location. Ici, plusieurs possibilités existent : LLD (location longue durée) : La LLD est une solution pertinente pour les professionnels et les

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Ce professionnel assure le suivi des coûts d’un projet immobilier et veille son équilibre financier tout au long du chantier, que ce soit pour la réalisation de logements collectifs ou individuels, de bureaux ou d’équipements publics. C’est un métier très ancien que celui d’économiste de la construction, même si sa dénomination n’a cessé d’évolué au fil des siècles, voire des millénaires. Sans doute que l’Egypte ancienne avait les siens pour mener à bien l’érection de ses gigantesques pyramides. En France, avant la Révolution, on parle de « toiseur » et même du statut honorifique de « toiseur du Roy ». Après 1789, l’harmonisation du système de mesure sur l’ensemble du territoire national amène ces spécialistes du Bâtiment à changer de titre : au XIXème siècle, on les appelle des « métreurs-vérificateurs ». En 1973, un décret gouvernemental consacre le terme de « technicien de de la construction ». Ce qualificatif devient par la suite « économiste de la construction », appellation qui s’est généralisée depuis 1992. Un rôle-clé pour la maîtrise des coûts immobiliers Quel est son rôle ? Il n’est pas un trésorier, encore moins un inspecteur des travaux finis. Au contraire, sa mission le conduit à intervenir dès la phase de conception d’un bâtiment, jusqu’à sa livraison au client final.  On pourrait plutôt le définir comme un comptable, doté d’un droit de regard, voire de contrôle, sur le respect du cahier des charges financier établi en amont d’un projet immobilier. Projet dont il doit en définitive évaluer le prix de revient total. Avant la mise en œuvre du programme, il se charge d’en estimer la faisabilité et de procéder à un chiffrage global, en lien avec les architectes et les ingénieurs. Avant et pendant du chantier, l’économiste de la construction se charge, en s’appuyant sur des outils informatiques parfois très élaborés comme un logiciel graphique 3D, de quantifier le volume de béton utilisé, ou de réaliser un relevé des surfaces de la charpente ou des planchers. Ses compétences sont multiples et sa fonction éminemment stratégique alors même que l’empilement de nouvelles réglementation et normes techniques, édictées le plus souvent dans un objectif d’économies d’énergie, a durci au cours de ces dernières années l’environnement juridique des professionnels du bâtiment. Dans ce contexte, la maitrise des coûts est devenu un enjeu essentiel pour maintenir la compétitivité économique des projets. Où exerce un économiste de la construction ? Un économiste de la construction exerce parfois son métier en indépendant. Il lui arrive d’intégrer une cellule spécifique au sein d’une entreprise du BTP, d’un bureaux d’études ou d’un cabinet d’ingénieur. Certaines administrations d’Etat ou collectivités territoriales en emploient un, parfois plusieurs, à travers des contrats de droit privé, pour des missions spécifiques dans le domaine de l’urbanisme. Un économiste de la construction possède en effet de solides qualifications dans les matières économiques et comptables, mais aussi en droit de la construction : autant d’expertises qui conduisent les décideurs locaux à les solliciter pour les associer à la préparation et l’élaboration de leurs projets d’équipements publics. Ce professionnel est aussi parfois amené à réaliser des diagnostics

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Aujourd’hui, acheter un véhicule n’est plus la seule solution pour utiliser un véhicule au quotidien. Les usagers de la route peuvent dorénavant louer, covoiturer ou même utiliser des mobilités douces pour leurs déplacements professionnels et personnels. La possession laisse place à l’usage Depuis maintenant plusieurs années, la vente des véhicules neufs diminue au profit de la vente de véhicules d’occasion mais aussi au profit de la location, de l’autopartage et d’autres formes d’usage. En cause, la pandémie de Covid-19 notamment qui a imposé l’arrêt des productions de véhicules neufs. La crise sanitaire a également engendré une pénurie de semi-conducteurs, des puces électroniques essentielles à la construction de véhicules neufs. Si le neuf est impacté, selon le site Je Vends Mon Auto, le marché de l’estimation et du rachat de véhicule d’occasion est fortement tendu. Outre cette pandémie, d’autres facteurs expliquent ce changement de comportement des usagers de la route. En effet, l’impact environnemental est au cœur des préoccupations actuelles. C’est pourquoi, les usagers de la route réduisent leur usage de la voiture au quotidien ou trouvent des alternatives dites « plus écologiques » (véhicules électriques ou hybrides, mobilités douces, etc.). Dans la même optique, les pouvoirs publics encouragent l’usage de ces alternatives écologiquement plus responsables (augmentation des ZFE par exemple). La génération actuelle, soucieuse des problématiques environnementales, est également une génération férue de nouvelles technologies. La location et le libre-service sont donc devenus des habitudes pour utiliser un véhicule ou un autre moyen de transport. Louer au lieu d’acheter, en quelque sorte. La propriété n’est plus la panacée. La location se destine à divers moyens de transport Il est possible de louer différents moyens de locomotion. Le plus ancien étant la location de voiture. Les loueurs historiques, à l’image de Europcar Nantes, proposent des offres de plus en plus sur-mesure à leurs clients (location courte durée, moyenne durée ou longue durée) pour répondre au mieux à leurs besoins. Aujourd’hui, il est aussi possible de louer des véhicules sans passer par une agence de location. Louer une voiture en libre-service pour une très courte durée est possible grâce à l’autopartage. En France, le pionnier en la matière est le réseau nantais marguerite, un service d’autopartage permettant de louer une voiture électrique, un véhicule utilitaire ou une petite citadine sur la métropole. À l’heure actuelle, il est observé une baisse du recours à la voiture grâce notamment aux locations longues durées de vélos. Une étude réalisée par l’Ademe indique que la location longue durée de cycles permet de réduire de façon considérable l’usage de l’automobile. Cette étude montre également que 12% des usagers de la route ont décidé de se débarrasser de leur automobile et 13% renoncent même à l’achat d’une voiture. Ces services de location longue durée ont d’ailleurs permis aux populations pour qui le vélo était hors de portée financièrement de pouvoir y avoir accès. De plus, les services de location longue durée implantés dans les zones rurales où la voiture est prédominante ont permis de convertir un nouveau public à l’usage

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Il y a quelques années, lancer une activité en ligne était une tâche ardue et coûteuse. Heureusement, avec l’évolution des outils et des technologies, il est désormais possible de créer une entreprise en ligne à moindre coût. Si vous avez un projet en tête mais que vous ne savez pas par où commencer, cet article est fait pour vous. Nous allons vous donner quelques conseils pour vous lancer dans l’aventure ! Identifier son activité Avant de lancer votre activité en ligne, il est important d’identifier quel type d’activité vous souhaitez développer. Pour cela, vous devez vous poser les bonnes questions : – Quel type de produit ou de service souhaitez-vous proposer ?– Pour quel type de clientèle souhaitez-vous le proposer ?– En quoi votre produit ou service se différencie-t-il des autres offres existantes sur le marché ? Une fois que vous aurez identifié le type d’activité que vous souhaitez développer, il sera plus facile de déterminer les étapes à suivre pour lancer votre activité en ligne. Déterminer les outils nécessaires Pour lancer son activité en ligne, il est important de déterminer les outils dont on aura besoin. En effet, il existe de nombreux outils qui peuvent être utiles pour se lancer dans le e-commerce, et il est important de bien les choisir afin de ne pas se retrouver avec des outils inadaptés ou trop coûteux. Parmi les outils les plus importants, on peut citer le site internet. En effet, le site internet est la vitrine de l’entreprise sur internet, et il est donc important de bien le choisir. Il existe de nombreux CMS (systèmes de gestion de contenu) qui permettent de créer un site internet facilement, sans avoir besoin de connaissances en programmation. Parmi les CMS les plus populaires, on peut citer WordPress, Joomla! ou Drupal. Il est également important d’avoir un bon hébergement web pour son site. En effet, l’hébergement web permet de mettre son site en ligne et de le rendre accessible à tous. Il existe de nombreux hébergeurs web, qui proposent des offres à des prix très variés. Il est important de bien comparer les différentes offres avant de choisir son hébergement web, afin de trouver celui qui conviendra le mieux à son activité. Pour gérer son activité en ligne, il est également important d’avoir un outil de paiement en ligne. En effet, il existe de nombreux moyens de paiement en ligne, tels que PayPal, Stripe ou encore Google Wallet. Il est donc important de bien choisir son outil de paiement en fonction de ses besoins et de son activité. Enfin, il est également important d’avoir un outil pour gérer ses clients. En effet, il existe de nombreux CRM (customer relationship management) qui permettent de gérer sa base de données clients et prospects, et d’envoyer des e-mails marketing ciblés. Parmi les CRM les plus populaires, on peut citer Salesforce ou HubSpot. Concevoir son site internet Pour lancer son activité en ligne, il est important de concevoir son site internet de manière à ce qu’il soit professionnel, pertinent

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En tant que créateur, vous connaissez certainement le problème auquel presque tous les entrepreneurs sont confrontés au début de leur carrière. Votre propre idée d’entreprise doit être promue, mais malheureusement, vous n’avez ni l’argent ni le temps de mettre en place des stratégies de marketing. C’est précisément cette situation défavorable qui a conduit au développement du « growth hacking » ces dernières années. Qu’est-ce que le Growth Hacking ? Le Growth Hacking est un terme de marketing. Il décrit diverses tactiques et astuces (« hacks »), le plus souvent bon marché, voire gratuites, qui aident une entreprise (en particulier une start-up) à se développer. En poursuit généralement un objectif très précis, par exemple : Vendre des produits Augmenter les abonnements à la newsletter Plus de trafic sur le site web de l’entreprise En particulier dans le secteur des start-ups, la croissance joue un rôle essentiel. Si vous ne vous développez pas de manière continue, vous aurez des grandes difficultés à vous maintenir sur le marché et finirez par disparaître. C’est pourquoi les growth hackers sont très demandés. Des exemples tels que Facebook, Dropbox et Eventbrite – toutes d’anciennes start-ups – montrent clairement l’impact que peut avoir le hacking de croissance professionnelle. Ils ont tous énormément grandi en très peu de temps. D’autres aspects, comme par exemple l’image de l’entreprise, ont été délibérément relégués au second plan – un autre aspect important du growth hacking. Les avantages et les inconvénients du growth hacking Bien que le terme « growth hacker » n’ait été inventé qu’en 2010 par l’entrepreneur et coach de start-up Sean Ellis et cette méthode de marketing a une histoire assez récente, mais de nombreux experts sont d’accord : le growth hacking est « le grand truc » sur la scène des start-ups. Néanmoins, il faut également souligner à ce stade qu’elle présente non seulement des avantages, mais aussi quelques inconvénients. Le tableau suivant montre ce qu’il en est concrètement. Les avantages du growth hacking rentable polyvalent approche agile peut déjà réussir via un seul canal Les inconvénients du growth hacking limité à la croissance les hackers de croissance expérimentés sont difficiles à trouver tous les hackers ne fonctionnent pas dans toutes les entreprises de nombreux hacks échouent Devenir soi-même un growth hacker, oui… mais Le growth hacking vous intéresse et vous voulez savoir ce que les différentes tactiques de croissance peuvent faire pour vous ? Devenez vous-même un « growth hacker » et allez dans des directions marketing complètement nouvelles. Toutefois, n’oubliez pas que cette tâche est assortie de quelques exigences. Il s’agit notamment de : Solides connaissances en marketing Créativité Une affinité pour les données et la technologie Pensée analytique Persistance L’amour de l’expérimentation Actionnisme Adaptabilité Pensée innovante Cette liste montre clairement que tous ceux qui s’y connaissent en marketing ne sont pas automatiquement des growth hackers nés. Même les experts en marketing chevronnés se font souvent les dents dans ce domaine et doivent admettre que le growth hacking est une tâche difficile en soi. En cas de doute, il est préférable de faire appel à un

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Plus les années passent, moins de personnes aspirent à être employées dans une entreprise et travailler en ayant un patron. De nombreux professionnels qui ont déjà un emploi nourrissent fortement cette envie de monter leurs propres projets, ce qui leur permet de retrouver la liberté, l’indépendance et l’autonomie dans leur travail. En plus de répondre à ces attentes, le business en ligne apparait comme une réelle opportunité pour se faire des bons revenus financiers. Cependant, peu de personnes savent concrètement ce qu’elles peuvent faire sur internet. Dans cet article, vous apprendrez davantage sur ce que c’est qu’un business en ligne. Mieux comprendre le business en ligne Le business en ligne est défini comme le déroulement d’une activité génératrice de revenus sur internet. Contrairement à ce que certaines personnes auraient pensé, l’e-business ne se rapporte pas seulement au webmarketer ou au webmaster. Il s’agit plutôt d’une capacité à pouvoir mettre sur pied une activité liée à une compétence, puis à la pratiquer en ligne. En d’autres termes, le business en ligne consiste à offrir des services ou des prestations sur internet, grâce à une stratégie de communication. La mise en pratique du e-business nécessite de multiples efforts dès le lancement des activités. Pour faciliter l’exécution des tâches, il est conseillé de s’occuper uniquement des tâches importantes. Ainsi, les autres activités pourront être déléguées à des collaborateurs. Contrairement aux activités dans une entreprise traditionnelle, les affaires en ligne susciteront rapidement une amélioration de la qualité de vie. Même si les choses iraient plus vite avec un investissement financier, figurez-vous qu’il est possible de commencer les affaires en ligne avec zéro franc. La classification des business en ligne Comme vous pouvez vous en douter, il existe diverses possibilités pour créer un business en ligne. Parmi elles, seulement quelques-unes seront présentées ici, afin de vous permettre de faire un choix convenable. La création d’une e-boutique Il vous est sûrement arrivé d’effectuer des achats en ligne, dans une e-boutique. Il s’agit d’une manière de faire des affaires en ligne. De façon classique, il vous faudra disposer d’un stock d’articles à vendre. Toutefois, il est possible de monter une plateforme de vente en ligne, sans avoir un magasin de stockage. Il s’agit du dropshipping, qui est également une excellente opportunité de faire des affaires en ligne. La seule contrainte qui se présente dans l’un de ces deux cas est de trouver une idée d’articles assez originale et de les commercialiser. Peu importe si vous avez un stock d’articles, il faut avoir à l’esprit que le e-commerce est une affaire qui nécessite d’énormes sacrifices. Le coaching via internet C’est notamment durant la période du confinement (COVID 19) que cette activité a connu une explosion sans précédent. Sur la toile et notamment sur les réseaux sociaux, les publicités affluaient pour proposer des services de coaching. Les domaines abordés sont très variés, allant de la perte de poids à la gestion du stress, en passant par le yoga. Le coaching est l’une des affaires les plus simples à réaliser

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Le robot trading, appelé également Espert Advisor ou encore autotrader, est largement utilisé en ce moment en termes d’investissement boursier. 50 % des ordres en France et 70 % des ordres aux États-Unis sont passés par ce type de programme informatique. Un tel engouement s’explique par de nombreux avantages qu’il présente. Étant donné qu’il existe aujourd’hui autant de robots trading, nous vous proposons ainsi ce guide afin de vous aider à choisir. À quoi sert un robot trading ? Il s’agit avant tout d’un logiciel automatisé servant à réaliser des ordres de vente et d’achat d’actifs boursiers. Puisqu’il se charge d’ouvrir et de fermer lui-même les ordres de trading tous les jours, vous n’avez plus à réaliser manuellement ces opérations. Pour ce faire, il se sert des codes de programmation qui sont eux-mêmes paramétrés selon les tendances du marché et divers autres facteurs. Grace à ces algorithmes paramétrés, le bot de trading est à même d’effectuer jusqu’à 7000 ordres en moyenne en un temps plus court. Puisque les robots trading sont pratiques, leur usage convient non seulement aux investisseurs expérimentés en bourse, mais également aux débutants. Etant donné qu’ils automatisent le passage des ordres en prenant en compte les paramètres définis par l’utilisateur dans sa stratégie de trading, ils permettent ainsi d’investir d’une manière plus simple. Il n’est pas nécessaire d’être un expert en informatique pour comprendre le fonctionnement du système et pour en profiter. Comment bien choisir son robot trading ? Nombreux sont les paramètres à prendre en compte pour trouver de meilleurs robots trading. Parmi ceux-ci, on distingue : La fiabilité de l’outil : nous vous conseillons de miser sur un logiciel de trading cumulant de nombreuses années d’historique avec des résultats positifs. Il est également important de se référer aux avis des investisseurs. Vérifiez qu’il cumule autant d’avis positifs pour qu’il soit considéré comme un outil fiable ; Les types de robots trading : on distingue d’abord le robot d’analyse technique qui a la particularité d’analyser les cours pour déceler les configurations graphiques. Il existe également le robot d’analyse fondamentale dont le fonctionnement est basé sur les événements et les indicateurs macroéconomiques. Il prend en compte ces éléments vu qu’ils peuvent influencer le cours des actifs. Le robot d’analyse quantitative quant à lui donne la priorité aux indicateurs mathématiques et statistiques pour la réalisation des transactions ; Le backtesting est important si vous souhaitez connaître préalablement le fonctionnement ainsi que la performance de l’autotrader. Certains robots de trading proposent plusieurs tests en se basant sur l’historique des données du marché. Quelles sont les bonnes raisons d’utiliser un robot trading ? L’un des atouts d’utiliser des robots de trading concerne le fait qu’ils permettent de traiter rapidement les opérations. Cela vient du fait qu’ils automatisent l’ouverture et la fermeture des ordres. Vous n’avez plus à vous renseigner sur les niveaux de sortie et sur la taille de la position avant de lancer les ordres d’achat ou de vente. Les autotraders sont à même d’accéder plus facilement et plus

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Comme toute autre entreprise, une PME nécessite une bonne gestion. Pour parvenir à des résultats satisfaisants, il est recommandé de sélectionner des stratégies efficaces. Les choix d’investissements devront également découler d’un travail de réflexion important. Adopter un logiciel ERP représente une initiative que les PME ne devraient pas négliger. Investir dans l’utilisation de ce progiciel reste une alternative à privilégier pour diverses raisons. Pour une meilleure gestion de l’entreprise Gérer une entreprise n’est certainement pas une démarche qui s’improvise. Il est essentiel de noter que les responsables de la PME devront faire l’usage d’outils performants. L’ERP est compté parmi les éléments qui peuvent tout à fait contribuer à l’optimisation de la méthode de gestion d’une entreprise. Le progiciel est un logiciel professionnel qui permet de gérer l’ensemble du processus au sein de la firme. Ce processus en question intègre la totalité des fonctions de la société, à savoir la gestion financière et comptable, la gestion des ressources humaines ainsi que la distribution et la vente des produits, l’approvisionnement et l’aide à la décision. Le progiciel ERP représente un outil à la pointe de la technologie, qui donne l’occasion à la PME de réaliser une gestion fluide et efficace de ses affaires internes. Pour plus de précision sur les possibilités offertes par l’usage d’un logiciel ERP, il est à la portée des dirigeants des PME de se renseigner sur des sites spécialisés comme sur mon-erp-industriel.fr. Pour une transformation digitale réussie La transformation digitale est un phénomène qui a fait son chemin depuis quelques années maintenant. Les entreprises, qu’elles soient grandes, moyennes ou grandes, sont toutes concernées par ce basculement vers le numérique. La transformation digitale au sein d’une PME se traduit par une démarche qui tend à gagner tous les services dans la structure de l’entreprise. Le phénomène peut être notamment amorcé par un bouleversement des habitudes de consommation du public cible de la PME. Cela engendre l’apparition de nouveaux besoins dans tous les secteurs d’activité. L’ERP propose aux PME de se mettre au diapason des réalités de son marché. Le progiciel offre à l’entreprise la possibilité de disposer de certaines aptitudes pour faciliter l’avènement de la transformation digitale, et pour que celle-ci soit profitable. L’ERP confère à la firme des qualités telles que la réactivité, la mobilité, la connectivité, et aussi l’aisance dans ses diverses collaborations. Le progiciel ERP se place au cœur de la transition digitale sous forme d’une solution qui permet aux PME de faciliter le suivi ainsi que l’amélioration des processus. Pour un retour sur investissement intéressant Sur la liste des fonctionnalités du logiciel ERP, les PME pourront avoir l’opportunité de centraliser les différentes informations qui circulent au sein de leurs structures. Cette centralisation se traduit par un regroupement des informations au niveau d’une base de données unique. Par ailleurs, l’ERP permet également une automatisation des tâches au sein de chaque service de la société. Les fonctionnalités du progiciel rendent propice l’apparition d’un retour sur investissement plus que satisfaisant pour la PME. Cela pourra se mesurer grâce

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De nombreux professionnels de nos jours profitent des avantages de l’impression 3D de manière systématique. La technologie évolue constamment, ainsi que le nombre d’industries dans lesquelles l’impression 3D est utilisée. Voyons donc comment l’applicabilité de cette technologie s’est développée dans certaines professions et essayons de répondre à la question de savoir qui utilise réellement l’impression 3D aujourd’hui. Introduction à l’impression 3D Le processus de l’imprimante 3d professionnelle a été conçu dans les années 1980 et connu à l’origine sous le nom de « prototypage rapide ». Il a permis aux entreprises de développer des prototypes rapidement et avec plus de précision qu’avec d’autres méthodes. Après plus de 30 ans d’innovation, ses usages sont aujourd’hui bien plus diversifiés. Les fabricants, les ingénieurs, les concepteurs, les éducateurs, les médecins et les amateurs utilisent la technologie pour une vaste gamme d’applications. La baisse des coûts et le développement d’imprimantes 3D « de bureau » plus compactes ont également rendu la technologie de plus en plus accessible au fil du temps. Fabriquer des pièces fonctionnelles La plupart des produits en plastique sont créés par moulage par injection, un processus où le plastique fondu est injecté dans un moule en métal, où il prend la forme souhaitée. Bien que ce processus puisse prendre aussi peu que quelques secondes et soit facile à répéter, il faut beaucoup plus de temps pour fabriquer le moule initial. Le processus ne devient rentable qu’une fois que vous avez fabriqué un grand nombre de pièces. Et si vous n’aviez besoin que de quelques centaines ? Ou vous en avez besoin d’ici la fin de la semaine ? C’est là que l’imprimante 3d professionnelle peut vous aider. À mesure que les imprimantes 3D sont devenues plus fiables et capables d’imprimer avec une plus large gamme de matériaux : des composites de verre ou de métal résistants aux matériaux flexibles tels que le caoutchouc. La fabrication à court terme de petits lots est devenue une option réaliste. Inventer un nouvel objet L’expérimentation est un très bon moyen de tester les capacités de votre imprimante 3D et de la faire passer au niveau supérieur. Parfois, vous voulez une machine qui fait quelque chose de différent. Il existe de nombreuses façons d’expérimenter pour rendre votre imprimante 3d professionnelle plus silencieuse et plus efficace. Au lieu de l’extrudeuse au-dessus de l’extrémité chaude, elle se trouve au-dessus du cadre. Cela signifie qu’il y a moins de poids à déplacer. Inventer un nouvel objet est quelque chose qui fonctionne bien dans les écoles comme à la maison. Que vous soyez à la recherche d’idées pour occuper vos jeunes enfants ou que vous soyez un enseignant à la recherche de nouvelles ressources pédagogiques originales, les impressions 3D peuvent vous aider. Dans le domaine de l’éducation Nous savons tous à quel point les enfants aiment les nouveautés. Parfois, les parents et les enseignants ont besoin de nouvelles façons de garder les enfants engagés, et l’impression d’objets adaptés aux enfants peut être une bonne méthode. L’impression 3D peut également être

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« Sac SOS », ce terme vous est peut-être étranger, et pourtant vous en utilisez lors de vos achats. Car derrière ce nom se cache finalement ces sacs et sachets en papier kraft, sans poignées, particulièrement prisés par certains professionnels de la vente à emporter pour le transport de vos achats. Si simple puissent-ils paraître, ils sont pourtant indispensables pour les commerçants comme pour leurs clients. On vous en dit plus sur le sac SOS kraft. La petite histoire du sac kraft sans poignée Désormais répandu sur la planète entière, le sac SOS en papier a vu le jour aux États-Unis aux alentours des années 1870, avec l’invention de machines à fabriquer des sacs en papier. Sans poignée, doté de soufflets latéraux et d’un fond plat pour s’adapter à la taille des produits et sécuriser leur transport, ce sac a rapidement été adopté par les professionnels de la restauration et de l’alimentation. L’utilisation du sac SOS en papier kraft dépasse aujourd’hui largement les seuls frontières des USA et a également été adopté par de très nombreuses professions. Ces dernières ont rapidement trouvé l’intérêt de ces sachets peu chers, particulièrement pratiques, adaptables aux produits à transporter, mais également personnalisables. L’indispensable sac SOS pour le transport des achats à emporter Bien que n’étant pas doté de poignées comme le sont les sacs cabas, les sacs SOS sont particulièrement pratiques pour les achats à emporter peu encombrants ou demandant une attention particulière. C’est notamment pour cela que les sandwicheries et les fast-foods les ont adoptés. Le fond plat permet de disposer des boissons, des plats et d’aux denrées, en les positionnant correctement pour les transports. La fermeture rapide par simple pliage, voire par agrafage est un réel gain de temps pour la préparation des commandes. La possibilité d’utiliser des sacs antigraissage est particulièrement adaptée à la restauration, car elle garantit l’hygiène des plats et la solidité des sacs, y compris en cas de contact avec des sauces. Au-delà de la restauration rapide, bien d’autres professionnels ont adopté le sac SOS kraft, à l’instar des magasins de bonbons et des boulangeries pour rester dans la thématique alimentaire, mais aussi les pharmacies et les quincailleries. Le sac SOS kraft, un support de communication efficace pour votre entreprise Certes la qualité des produits et des services est la valeur première d’une entreprise. Cependant, savoir communiquer pour fidéliser les clients ou en attirer de nouveaux est tout aussi essentiel. Si en la matière il existe bien des supports de communication, notamment les supports digitaux à l’ère du web, certains supports plus classiques restent efficaces. Ainsi, les sacs, les sachets et les autres emballages sont toujours l’occasion de transformer leurs clients en ambassadeurs et de communiquer sur leur marque au-delà des murs des magasins. Les professionnels du secteur proposent ainsi la personnalisation des sacs en papier kraft, et plus largement des emballages alimentaires. Les entreprises et restaurateurs ont ainsi la possibilité de faire imprimer sur leurs sacs et emballages leur logo, le nom de leur marque ou encore

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