Dans les années 90, les premiers stands modulaires naissent. Aujourd’hui, il n’est pas exagéré d’affirmer que les stands ont fait du chemin, car ce type de stand fait partie des supports de communication les plus utilisés dans les salons et dans les foires. C’est donc tout naturellement que les professionnels qui souhaitent communiquer autour de leurs produits ou services n’hésitent pas à y recourir. Qu’est-ce qu’un stand modulaire ? Un stand est une façade d’exposition ouverte dans un espace généralement réduit pour la vente d’un produit ou la promotion d’une marque. En revanche, les stands modulables sont composés de plusieurs éléments dénommés modules. Leur particularité est qu’ils permettent d’obtenir plusieurs combinaisons puisque l’assemblage laisse un large choix. Tout comme le stand sur-mesure, le stand modulaire est très pratique. Il peut couvrir une superficie allant de 6 m2 à 60 m2. Pourquoi exposer et comment choisir son emplacement ? Une entreprise sur trois participe à des salons ou autres évènements professionnels, dans l’objectif d’affirmer son image, de vendre, de créer des contacts, de faire une étude de marché ou encore de rencontrer de nouveaux clients. De plus, il y a de nouvelles perspectives commerciales, car c’est une occasion pour les marques de figurer dans la bibliographie du salon offrant ainsi une ouverture sur le marché étranger et à de nouveaux fournisseurs. Il existe deux types de stands modulaires : les stands standards (cadres en aluminium profilé, tissu tendu ou simplement peint, habillage de l’intérieur avec du contreplaqué) personnalisables en plusieurs configurations et les stands mixtes (un mix entre un stand traditionnel et un stand sur-mesure). Il faut souligner que le choix de l’emplacement doit être décidé en tenant compte de différents facteurs stratégiques. Tout d’abord, vous devez être repérable et facile à être trouvé. Ensuite, vous devez être près d’un endroit à fort passage, c’est-à-dire, les allées principales, les services de restauration, les entrées et les sorties. Les avantages du stand modulaire L’économie et l’adaptabilité sont les principaux atouts qu’offre ce type de stand nouvelle génération. Comme autres avantages, le stand modulaire est adopté pour : Son côté pratique: en dehors des stands pliables, ils sont appréciés pour leur facilité de montage et de démontage. Vous n’avez pas forcément besoin d’être un expert en la matière pour ces opérations. Ce qui rend le démontage simple, c’est le fait que les panneaux s’entrelacent pour donner des cloisons. Les possibilités de personnalisation : avec ces stands, vous pouvez mettre en valeur votre imagination, surtout pour la visibilité de votre entreprise. Peu importe la configuration de votre espace, vous pourrez l’installer sans difficulté. Votre stand modulaire peut vous offrir une vue panoramique grâce à ces modules. La facilité de stockage et de réutilisation : le rangement de ces stands est facile, car ils occupent très peu d’espace. À titre d’exemple, un stand modulable de 36 m2 peut se tenir dans 4 m3. Il est livré avec des housses pour éviter l’humidité et le soleil. De plus, on en fait usage autant de fois qu’il

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La communication externe d’une entreprise conditionne en partie son succès sur le marché. Son objectif est de séduire les prospects et les clients, mais également d’attirer d’éventuels investisseurs ou à rassurer les partenaires et fournisseurs. Vendre, se faire aimer, se faire connaître, autant d’objectifs que la communication externe vise par le biais d’une stratégie qui doit être pensée bien en amont de toutes les actions qu’il est possible de mener. Découvrez les outils et les supports de la communication externe. Qu’est-ce que la communication externe ? La communication externe d’une entreprise se définit par opposition avec la communication interne, qui s’adresse aux membres et collaborateurs de l’organisation. La communication interne doit reposer sur une base solide. Quant à la communication externe, elle regroupe toutes les actions de communication déployées par l’entreprise à l’attention de ses interlocuteurs extérieurs : les clients et prospects, mais aussi les partenaires, les actionnaires et/ou investisseurs et les concurrents. Si les efforts de communication externe et interne d’une organisation ne poursuivent pas la même finalité, ils doivent toutefois se concevoir dans un souci de cohérence et de complémentarité. Par ailleurs, la communication externe peut viser différents objectifs au sein d’une organisation. Si elle poursuit généralement un but commercial et soutient la promotion des ventes, elle peut aussi permettre à l’entreprise d’optimiser le lancement d’un nouveau produit ou service, de fidéliser des clients existants ou encore d’améliorer sa notoriété et son image de marque. Communication externe : quels outils et supports ? La communication externe d’une entreprise peut se déployer sur une grande variété de supports. Ces derniers peuvent être physiques et/ou digitaux : la plupart du temps, les plans de communication font appel aux deux types de supports pour optimiser leurs résultats. Du flyer à la brochure commerciale, en passant par le traditionnel catalogue ou encore la publicité imprimée dans les magazines, les supports de communication traditionnels s’imposent comme des outils performants, notamment lorsque vous entrez en contact direct avec vos prospects et clients. Ils vous permettront de consolider l’image et la notoriété de votre entreprise à l’occasion d’un événement professionnel, comme un salon ou une foire. Par ailleurs, les supports de communication digitale peuvent efficacement compléter le dispositif déployé par l’entreprise, en effet, le flyer imprimé peut amener le prospect sur le site web. Le site web, le blog ou encore les réseaux sociaux de l’organisation peuvent en effet devenir de puissants leviers de visibilité en ligne. Ils font désormais partie des outils essentiels en matière de communication externe. La communication externe représente une activité stratégique pour toutes les organisations, comme le montre cet article dans Stratégies, quelle que soit leur taille ou leur spécialité. Si elle peut nécessiter des investissements importants, elle contribue également à la croissance de l’entreprise et de son chiffre d’affaires.

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Après avoir étudié les besoins des entreprises françaises en main-d’œuvre, Pôle Emploi publie une nouvelle enquête sur les BMO (besoins de main-d’œuvre), depuis janvier 2014 jusqu’à présent. Après avoir comparé les statistiques de cette année avec les statistiques de l’année précédente, Pôle Emploi constate un redressement de la situation économique.

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Ce professionnel assure le suivi des coûts d’un projet immobilier et veille son équilibre financier tout au long du chantier, que ce soit pour la réalisation de logements collectifs ou individuels, de bureaux ou d’équipements publics. C’est un métier très ancien que celui d’économiste de la construction, même si sa dénomination n’a cessé d’évolué au fil des siècles, voire des millénaires. Sans doute que l’Egypte ancienne avait les siens pour mener à bien l’érection de ses gigantesques pyramides. En France, avant la Révolution, on parle de « toiseur » et même du statut honorifique de « toiseur du Roy ». Après 1789, l’harmonisation du système de mesure sur l’ensemble du territoire national amène ces spécialistes du Bâtiment à changer de titre : au XIXème siècle, on les appelle des « métreurs-vérificateurs ». En 1973, un décret gouvernemental consacre le terme de « technicien de de la construction ». Ce qualificatif devient par la suite « économiste de la construction », appellation qui s’est généralisée depuis 1992. Un rôle-clé pour la maîtrise des coûts immobiliers Quel est son rôle ? Il n’est pas un trésorier, encore moins un inspecteur des travaux finis. Au contraire, sa mission le conduit à intervenir dès la phase de conception d’un bâtiment, jusqu’à sa livraison au client final.  On pourrait plutôt le définir comme un comptable, doté d’un droit de regard, voire de contrôle, sur le respect du cahier des charges financier établi en amont d’un projet immobilier. Projet dont il doit en définitive évaluer le prix de revient total. Avant la mise en œuvre du programme, il se charge d’en estimer la faisabilité et de procéder à un chiffrage global, en lien avec les architectes et les ingénieurs. Avant et pendant du chantier, l’économiste de la construction se charge, en s’appuyant sur des outils informatiques parfois très élaborés comme un logiciel graphique 3D, de quantifier le volume de béton utilisé, ou de réaliser un relevé des surfaces de la charpente ou des planchers. Ses compétences sont multiples et sa fonction éminemment stratégique alors même que l’empilement de nouvelles réglementation et normes techniques, édictées le plus souvent dans un objectif d’économies d’énergie, a durci au cours de ces dernières années l’environnement juridique des professionnels du bâtiment. Dans ce contexte, la maitrise des coûts est devenu un enjeu essentiel pour maintenir la compétitivité économique des projets. Où exerce un économiste de la construction ? Un économiste de la construction exerce parfois son métier en indépendant. Il lui arrive d’intégrer une cellule spécifique au sein d’une entreprise du BTP, d’un bureaux d’études ou d’un cabinet d’ingénieur. Certaines administrations d’Etat ou collectivités territoriales en emploient un, parfois plusieurs, à travers des contrats de droit privé, pour des missions spécifiques dans le domaine de l’urbanisme. Un économiste de la construction possède en effet de solides qualifications dans les matières économiques et comptables, mais aussi en droit de la construction : autant d’expertises qui conduisent les décideurs locaux à les solliciter pour les associer à la préparation et l’élaboration de leurs projets d’équipements publics. Ce professionnel est aussi parfois amené à réaliser des diagnostics

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De nos jours, attirer l’attention n’est pas une chose évidente à faire. La publicité, le marketing et les distractions sont partout. C’est même encore moins évident dans le monde professionnel et sur des plateformes comme LinkedIn comptant des millions d’utilisateurs. Toutefois, il est toujours possible d’attirer l’attention et de générer des visites sur votre profil LinkedIn en appliquant quelques techniques simples. C’est ce que vous allez découvrir dans cet article. Soyez actif Lorsque vous êtes à la recherche d’un emploi sur LinkedIn, il est important d’être actif sur la plateforme. C’est-à-dire que vous devez publier des contenus professionnels que vous appréciez, et participer aux publications des autres. Vous vous distinguerez ainsi des autres candidats potentiels et les recruteurs auront plus de chances de vous remarquer. Ainsi, dès qu’une offre d’emploi correspondant à votre profil se présentera, il y a de fortes chances que vous soyez le premier candidat sur le radar du recruteur ! Cela ne signifie pas pour autant que vous devez passer toute votre journée sur LinkedIn. Consacrez-y 10 à 20 minutes par jour au maximum, et le tour est joué ! Utiliser Linkedin emoji vous aide aussi à attirer le regard sur votre profil. Utilisez correctement votre réseau LinkedIn est avant tout une plateforme de réseautage professionnel. Cela signifie que vous pouvez ajouter des personnes que vous n’avez pas rencontrées dans la vie réelle, c’est à cela que sert la plateforme ! N’hésitez pas à ajouter à votre réseau des recruteurs, des spécialistes des RH et des responsables du recrutement dans les entreprises pour lesquelles vous souhaitez travailler. Ainsi, vous serez toujours informé des postes ouverts et vous apparaîtrez en tête de liste des autres candidats lorsque ces recruteurs rechercheront une personne possédant vos compétences. N’oubliez pas cependant que lorsque vous ajoutez des connexions sur LinkedIn, il est plus courtois d’envoyer une demande de connexion accompagnée d’un message court. Utilisez la fonction « Trouver à proximité » LinkedIn propose une fonction très intéressante pour les téléphones mobiles, que tout le monde ne connaît pas : « Trouver à proximité ». Lorsque vous l’activez, l’application vous montre les profils des personnes qui sont physiquement à proximité et qui ont également activé cette fonction. Ainsi, vous apparaissez également comme actif aux yeux des utilisateurs proches. Cela peut s’avérer extrêmement utile si vous vous rendez à des événements de réseautage physique, à des conférences ou à des réunions professionnelles afin de rencontrer des responsables des ressources humaines dans des entreprises spécifiques. Une fois que vous savez qui est présent à la conférence ou à la réunion, vous pouvez être à l’affût et leur dire bonjour dès que vous en avez l’occasion ! Il est évident que le fait de rencontrer ces personnes physiquement vous aide à vous démarquer des autres. Vous pouvez discuter en face à face avec de potentiels recruteurs et cela à bien sûr un impact beaucoup plus important que le simple fait d’envoyer un message numérique. Pour activer la fonction  » Trouver à proximité « , vous devez : Activer le Bluetooth sur votre appareil mobile.

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Plus les années passent, moins de personnes aspirent à être employées dans une entreprise et travailler en ayant un patron. De nombreux professionnels qui ont déjà un emploi nourrissent fortement cette envie de monter leurs propres projets, ce qui leur permet de retrouver la liberté, l’indépendance et l’autonomie dans leur travail. En plus de répondre à ces attentes, le business en ligne apparait comme une réelle opportunité pour se faire des bons revenus financiers. Cependant, peu de personnes savent concrètement ce qu’elles peuvent faire sur internet. Dans cet article, vous apprendrez davantage sur ce que c’est qu’un business en ligne. Mieux comprendre le business en ligne Le business en ligne est défini comme le déroulement d’une activité génératrice de revenus sur internet. Contrairement à ce que certaines personnes auraient pensé, l’e-business ne se rapporte pas seulement au webmarketer ou au webmaster. Il s’agit plutôt d’une capacité à pouvoir mettre sur pied une activité liée à une compétence, puis à la pratiquer en ligne. En d’autres termes, le business en ligne consiste à offrir des services ou des prestations sur internet, grâce à une stratégie de communication. La mise en pratique du e-business nécessite de multiples efforts dès le lancement des activités. Pour faciliter l’exécution des tâches, il est conseillé de s’occuper uniquement des tâches importantes. Ainsi, les autres activités pourront être déléguées à des collaborateurs. Contrairement aux activités dans une entreprise traditionnelle, les affaires en ligne susciteront rapidement une amélioration de la qualité de vie. Même si les choses iraient plus vite avec un investissement financier, figurez-vous qu’il est possible de commencer les affaires en ligne avec zéro franc. La classification des business en ligne Comme vous pouvez vous en douter, il existe diverses possibilités pour créer un business en ligne. Parmi elles, seulement quelques-unes seront présentées ici, afin de vous permettre de faire un choix convenable. La création d’une e-boutique Il vous est sûrement arrivé d’effectuer des achats en ligne, dans une e-boutique. Il s’agit d’une manière de faire des affaires en ligne. De façon classique, il vous faudra disposer d’un stock d’articles à vendre. Toutefois, il est possible de monter une plateforme de vente en ligne, sans avoir un magasin de stockage. Il s’agit du dropshipping, qui est également une excellente opportunité de faire des affaires en ligne. La seule contrainte qui se présente dans l’un de ces deux cas est de trouver une idée d’articles assez originale et de les commercialiser. Peu importe si vous avez un stock d’articles, il faut avoir à l’esprit que le e-commerce est une affaire qui nécessite d’énormes sacrifices. Le coaching via internet C’est notamment durant la période du confinement (COVID 19) que cette activité a connu une explosion sans précédent. Sur la toile et notamment sur les réseaux sociaux, les publicités affluaient pour proposer des services de coaching. Les domaines abordés sont très variés, allant de la perte de poids à la gestion du stress, en passant par le yoga. Le coaching est l’une des affaires les plus simples à réaliser

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Un système de suivi des candidats ou ATS est un type de logiciel de recrutement qui permet de rationaliser le processus de recrutement d’une organisation du début jusqu’à la fin. Il permet de gérer des tâches telles que l’affichage des offres d’emploi sur plusieurs sites, le stockage des données des candidats et la sélection des candidatures pour des correspondances potentielles. Pourquoi les entreprises ont besoin d’un système de suivi des candidats ? Bien que les systèmes de suivi des candidats puissent être utilisés par des entreprises de toutes tailles, ils sont particulièrement utiles pour les entreprises qui embauchent régulièrement des employés pour une variété de postes, ou celles qui ont tendance à attirer un grand nombre de candidats pour chaque poste. Les entreprises sont susceptibles d’obtenir un retour sur investissement significatif avec un système de suivi des candidats si elles examinent plus de 1000 CV par an. Elles bénéficieront également d’un ATS si elles ont un processus d’embauche long ou compliqué, ou si elles rencontrent des problèmes de recrutement et d’administration. Le logiciel de gestion de CV et de suivi des candidats peut réduire considérablement le temps de remplissage. Cela signifie que les entreprises qui éprouvent des difficultés à gérer la charge de travail associée à de grands bassins de candidats trouveront le processus rationalisé beaucoup plus efficace. Le potentiel d’un système de suivi ATS Un ATS permet aux recruteurs de commenter et d’évaluer les candidats dans une seule base de données, afin que toutes les personnes impliquées dans le processus de recrutement puissent facilement collaborer. L’une des principales fonctions des systèmes de suivi des candidats consiste à passer automatiquement au crible les CV et les candidatures pour déterminer les candidats qui doivent passer à la phase suivante du processus de recrutement. Souvent, un système de suivi ATS utilise des filtres basés sur des mots-clés et des paramètres définis, tels que le nombre d’années d’expérience, les compétences répertoriées et d’autres critères que l’organisation désigne pour sélectionner les candidats. Chaque fonctionnalité d’un système de suivi des candidats est conçue pour améliorer le processus de recrutement. Les canaux de communication intégrés et les rappels automatisés par e-mail aident les recruteurs à communiquer avec les candidats de manière plus cohérente, ce qui permet de se sentir plus connectés et informés tout au long du processus. Comment choisir son ATS ? Tout d’abord, déterminez votre besoin en matière de logiciel en essayant de répondre à ces questions : à qui sera-t-il destiné ? Sera-t-il destiné seulement aux recruteurs de votre entreprise ? Sera-t-il également destiné aux opérationnels de votre société car ils font partie intégrante de votre processus de recrutement ? Qui pourra accéder à cette plateforme ? Elles vous permettront de savoir exactement à qui servira votre logiciel de recrutement et donc d’en découdre les principales fonctionnalités que ce dernier devra avoir. La seconde étape dans le choix de son logiciel de recrutement consiste à déterminer le budget que l’on pourra allouer. Chaque logiciel de recrutement existant a un coût qui peut varier

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Les dirigeants ont compris depuis longtemps que le développement de leurs entreprises dépend des qualifications de leurs collaborateurs. Sans une équipe compétente, il serait impossible de satisfaire sa clientèle et de rivaliser avec ses concurrents. Malgré tout, les spécialistes estiment qu’une campagne de recrutement sur deux se solde par un échec. La recrue ne remplit pas les exigences de l’employeur ou elle démissionne avant la fin de la période d’essai. Voici quelques conseils pour éviter ces cas de figure. Aperçu sur les erreurs souvent commises dans le cadre d’une campagne de recrutement Les erreurs de recrutement résultent le plus souvent de l’empressement du recruteur. Voulant à tout prix combler un poste vacant, les responsables embauchent la première personne qui semble avoir le profil requis. Pourtant, il est vivement conseillé de consacrer au moins deux semaines à ce projet. Cela laisse le temps aux demandeurs d’emploi d’envoyer leurs candidatures. L’équipe pourra ensuite sélectionner un candidat à la fois compétent et motivé. Dans bien des cas, les décideurs ne prennent pas en compte la motivation des candidats. Or, ce facteur influera sur la durée que passera cette personnes dans l’entreprise. Il vaut mieux considérer ce détail pour ne pas être obligé de lancer une nouvelle campagne au bout de quelques semaines. Il arrive également que les recruteurs choisissent la mauvaise personne en raison d’une erreur d’appréciation. Quel que soit le poste concerné, il faudra vérifier les références des candidats en contactant les anciens employeurs. Par ailleurs, on ne se contentera pas d’un entretien unique. Les entretiens permettront d’apprécier les qualités humaines du candidat. Dans tous les cas, l’instinct du recruteur s’affûtera au fil du temps. En attendant, il vaut mieux solliciter une entreprise de recrutement à Vernon. Pourquoi faire appel à un cabinet de recrutement ? Un chef d’entreprise ne peut se permettre une erreur de recrutement. S’il souhaite engager un cadre dirigeant, le nouveau collaborateur doit disposer des compétences requises en plus d’avoir un réel sens du leadership. Confier la campagne à une agence spécialisée sera essentiel pour ne rien laisser au hasard. Ces structures connaissent parfaitement les étapes à suivre pour dénicher les meilleurs candidats. Par ailleurs, leur personnel prépare des tests et des entretiens pour mieux cerner le profil de chaque postulant. Grâce à cela, on peut identifier la recrue idéale dans les meilleurs délais. De quoi étoffer l’équipe rapidement en cas de surcroît d’activité. Les cabinets de recrutement reçoivent continuellement des demandes spontanées. Ils ont à leur disposition une vaste base de données de demandeurs d’emploi. En puisant dans les CV archivés, ces établissements parviennent à combler un poste vacant en quelques jours. Ce service contribue à assurer le succès d’une entreprise en pleine croissance. En dehors de cette prestation, ces agences portent assistance aux sociétés qui souhaitent optimiser leurs politiques RH. Les cabinets de recrutement peuvent mettre un consultant RH à la disposition de leurs clients. Ce spécialiste livrera de précieux conseils pour que les responsables puissent maîtriser et accélérer le processus d’embauche lors de futures campagnes.

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Depuis un moment, le management de transition s’emploie de plus en plus dans le milieu des entreprises. Il a su s’y imposer en résolvant différentes situations de crises. Au départ, cette pratique servait uniquement à gérer les situation de crise, les fermetures d’industries ou encore l’absence prolongée d’un dirigeant. La naissance et évolution du management de transition au fil du temps Né dans les années 70 au Pays-Bas, le management de transition était d’abord connu sous le nom d’intérim management. Il consiste à faire appel à un agent externe de haut niveau sur une durée définie. Celui-ci a pour objectif de résoudre une situation d’urgence au sein d’une entreprise. Avant, cette procédure concernait uniquement les crises négatives. Néanmoins, cela a évolué au fil du temps. Dorénavant, le management de transition peut s’employer pour résoudre les crises positives. Tels sont les cas de l’amélioration de la performance d’une société ou la gestion d’une forte croissance. Ainsi, plusieurs raisons peuvent pousser les dirigeants d’une boîte à appliquer ce procédé. Il y a le redéploiement et la restructuration d’un établissement. La fusion, l’acquisition ou certains projets spécifiques constituent aussi des exemples qui exigent les services d’une tierce personne qualifiée. Grâce à la grande fluidité du monde du travail, cette pratique devient facilement accessible. Les critères pour choisir un cabinet de management de transition Le management de transition consiste à confier provisoirement un poste clé à un agent appelé manager de transition. Dans le domaine de la gestion d’entreprise, rien ne se fait par hasard, dont le choix d’un cabinet de recrutement management de transition. Certains critères méritent d’être énoncés pour s’assurer d’avoir opté pour le bon cabinet. Tout d’abord, il est indispensable de le choisir par rapport à son secteur d’activité. Cela peut concerner les ressources humaines, la finance, les achats ou le service commercial. Les dirigeants de la boîte préciseront la nature de la mission du manager. Cela peut être l’amélioration des performances ou de la restructuration de la boîte. Troisièmement, la durée de l’intervention sera définie en fonction des objectifs et il est possible de la prolonger ou de la renouveler. L’expertise est impérative. Vous ferez votre choix entre les managers ayant travaillé à des postes opérationnels et ceux en cabinet. Le management de transition, un procédé entraînant bon nombre d’avantages Le management de transition entraîne bon nombre d’avantages. Premièrement, il assure la gestion d’un projet temporaire avec efficacité. Comme le manager de transition occupera un poste clé, il se trouvera au cœur de l’action. Il assumera les responsabilités en fonction des spécificités humaines, conjoncturelles et organisationnelles de la structure. Quant à ses décisions, celles-ci mèneront à des résultats déterminants. Deuxièmement, l’obtention de solutions concrètes en un temps réduit constitue un atout à ne pas sous-estimer. Grâce à ses compétences, l’agent externe saura définir ses priorités. De plus, celui-ci préparera l’avenir de la firme. Troisièmement, le manager apporte une nouvelle vision de la situation de la société. Recourir à un manager de transition permet de bénéficier d’une diversité d’expériences et de

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Depuis que le Règlement Général sur la Protection des Données est entré en vigueur en mai 2018, les entreprises disposaient d’un an pour assurer la conformité avec le texte. Comme la réalisation des étapes de cette mise en conformité n’est pas facile, le Cnil a mis à la disposition des entreprises un logiciel libre, le Privacy Impact Assesment ou PIA. Ce logiciel a pour but d’accompagner les entreprises pour faciliter leur phase d’adaptation au RGPD. A quoi sert le logiciel ? Le PIA est une solution Open source. Elle représente donc une alternative aux services commerciaux d’acteurs spécialisés et aux applications payantes des entreprises. Le logiciel PIA va permettre de dérouler l’ensemble de la méthode PIA. Celle-ci permet aussi de se conformer aux exigences dans les lignes directrices du G29, l’entité qui représente les Cnil Européennes. C’est important de le préciser car le règlement s’applique aussi à tous les États membres. Les entreprises implantées dans différents pays concernés doivent garantir la conformité de leurs traitements dans de nombreux états, y compris la France. La Cnil vise à travers la publication de son logiciel à encourager les entreprises à précéder l’entrée en vigueur du RGPD. Grâce au logiciel, ces dernières peuvent démontrer leur conformité au texte et construire des traitements de données qui respectent la vie privée. Pour les professionnels concernés par le RGPD, l’outil leur permet de se familiariser avec la méthode PIA. Pour plus d’informations, vous pouvez taper les mots mydposolution l’outil PIA sur internet. A qui s’adresse l’outil ? Le logiciel cible principalement les responsables de traitement qui ne sont pas encore familiers avec la démarche d’AIPD ou Analyse d’Impact Relative à la Protection des Données. Le logiciel se lance facilement sur un poste de travail, étant une version prêt à l’emploi. Par ailleurs, l’outil peut également être déployé sur des serveurs pour les intégrer dans d’autres outils qui sont déployés en interne. Description du PIA Le logiciel s’articule autour de ces trois axes pour pouvoir suivre la méthode AIPD : Une interface ergonomique pour réaliser les AIPD : cette interface didactique vous permet de gérer facilement toutes les analyses d’impact. Le logiciel déroule parfaitement la méthode d’analyse d’impact de la CNIL, ce qui va permettre de la suivre de près et de n’omettre aucune étape. De nombreux outils de visualisation vont vous aider à comprendre rapidement l’état des risques du traitement étudié. Une base de connaissance technique et juridique : le logiciel intègre également les points juridiques qui assurent la licéité du traitement et les mesures de protection des droits des personnes concernées. Il comporte aussi une base de connaissance contextuelle à laquelle on peut accéder en tout temps à l’étape de l’analyse. A noter que les contenus de celle-ci s’adaptent aux éléments étudiés du traitement et reposent sur les guides AIPD, le RGPD et le guide de sécurité de la Cnil. Un outil modulaire : le logiciel est conçu spécifiquement pour faciliter la mise en conformité. Il s’adapte à tous les besoins et à tous les

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