Pour sauvegarder les abeilles, les collectivités locales et les entreprises installent des ruches dans leurs locaux. Le sort des abeilles concerne à la fois les apicultures particuliers et professionnels. Les butineuses jouent également un rôle important dans la cohésion des équipes et le bien-être des salariés. Selon les statistiques, de plus en plus d’entreprises et de collectivités locales décident d’accueillir des ruches afin de sauvegarder les butineuses. Les apiculteurs peuvent vous accompagner à chaque étape de votre projet afin que vous réussissiez à les installer sans efforts dans votre jardin ou sur vos toits. Des projets pour soutenir la biodiversité L’activité des insectes pollinisateurs est vitale pour la biodiversité. Les butineuses assurent la pollinisation des plantes et des arbustes à fleurs. De plus, la récolte de fruits et de légumes dépend en grande mesure de l’activité des abeilles. Par conséquent, les apiculteurs professionnels recommandent aux agriculteurs de réduire voire du supprimer l’utilisation de pesticides. Ils conseillent également les chefs d’entreprise d’installer des ruches dans leur jardin tout en respectant les règlementations en vigueur. Des conseils pour sauvegarder les abeilles De nos jours, certains chefs d’entreprise décident d’offrir des produits apicoles à leurs collaborateurs à la place du traditionnel panier garni de vin et de foie gras. Cette tendance progresse considérablement d’une année à l’autre. Pour sauvegarder à la fois les abeilles et la biodiversité, il est conseillé d’installer des ruches dans vos locaux et d’initier vos employés à l’apiculture. Grâce à ces animations, vous pouvez fédérer facilement vos équipes. Le miel que vous récoltez à l’aide des apiculteurs professionnels, vous pouvez l’offrir aux collaborateurs ayant obtenu des résultats exceptionnels pendant plusieurs mois consécutifs. Grâce à leurs enjeux pédagogiques, les ruches servent également de support de sensibilisation à la biodiversité. Les professionnels d’Apiterra vous aident à fédérer vos équipes en organisant au sein de votre entreprise des animations interactives autour de la récolte du miel. Si vous installez des ruches d’entreprise dans votre jardin, vous pouvez créer une dynamique à part à votre business et y apporter une nouvelle dimension. De plus, vous pouvez contribuer de manière active à protection de la nature et de la biodiversité. Si nécessaire, les spécialistes d’Apiterra peuvent prendre en charge l’entretien de vos ruches.

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La pâtisserie est aujourd’hui indéniablement associée, non pas à la seule vocation de nourrir, comme l’est la cuisine traditionnelle, mais bien à la notion de plaisir. Les petites douceurs sucrées sont devenues aujourd’hui des véritables œuvres d’art et les pâtissiers des orfèvres en la matière. Comment la pâtisserie française est-elle devenue un art à part entière ? Quelles ont été les recettes du succès ?

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Dans le secteur textile, nombreuses sont les entreprises françaises qui ont dû fermer leurs portes ou délocaliser pour réduire leurs coûts de production. Toutefois, ces derniers temps, plusieurs PME du secteur ont réussi à faire face au contexte de la crise économique. C’est notamment grâce à leur capacité d’innover et d’adapter leurs produits à la demande.

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Depuis le début de la crise sanitaire, de nombreuses industries sont en manque de semi-conducteurs. L’automobile fait partie de ces secteurs qui connaissent une pénurie massive de ces composants ce qui implique d’importants retards de production de véhicules neufs. Pourtant, la voiture reste encore le moyen de transport privilégié par les Français. Alors, quelles sont les alternatives à l’achat d’un véhicule neuf aujourd’hui ? De nombreuses solutions sont possibles. La voiture, le mode de transport « favori » des Français À ce jour, et ce malgré la hausse des prix du carburant et l’incitation du gouvernement de se passer de véhicules notamment dans les centres-villes avec les nouvelles restrictions de circulation des véhicules polluants, 84% des Français ne se disent pas prêts à se passer de leur voiture de façon définitive. Dans les zones rurales, ce chiffre atteint même les 92%. Cela prouve le décalage existant entre la volonté des pouvoirs publics d’inciter les Français à se passer de leur voiture et la réalité des personnes vivant en dehors des grandes villes qui ne peuvent se passer d’une voiture pour continuer leurs activités quotidiennes. En effet, en province, la voiture est indispensable pour effectuer ses courses, pour se rendre à un rendez-vous médical ou pour emmener ses enfants au sport par exemple. La voiture reste donc le moyen de transport privilégié faute de solution alternative aussi performante. Les transports en commun sont bien moins développés en dehors des métropoles, c’est pourquoi 77% des personnes vivant en milieu rural utilisent leur voiture au moins une fois par semaine. Selon une étude menée par le ministère de l’Écologie, bien que d’un point de vue national l’usage de la voiture ait légèrement diminué depuis 2008, celle-ci reste cependant le mode de transport privilégié en France. D’ailleurs, d’après cette étude, l’usage de la voiture commence seulement à diminuer pour les agglomérations de plus de 20 000 habitants. Pour les habitants des grandes villes françaises comme Paris, il est démontré que prendre le métro ou le RER est plus rapide que d’utiliser sa voiture. Le secteur automobile en pénurie de semi-conducteurs pour fabriquer des véhicules neufs Le marché de l’automobile n’est donc pas prêt de décliner. Pourtant, la pénurie de semi-conducteurs entraîne des retards importants de livraison de véhicules neufs. Cette pénurie est notamment due aux restrictions sanitaires de 2020 puisque celles-ci ont entraîné une cessation des activités en Europe, en Chine et en Amérique du Nord. Lors de la réouverture des usines, la demande en semi-conducteurs a explosé. Les semi-conducteurs sont essentiels à la construction de composants de sous-systèmes de véhicules. Il peut aussi bien s’agir de capteurs, de systèmes d’info-divertissement, etc. En croissance annuelle de 7%, le marché des puces électroniques devrait doubler d’ici 2030. Un phénomène qui s’explique par plusieurs facteurs : le développement du travail à distance, la numérisation de la société et l’électrification de l’automobile et de l’industrie. De même, plus les voitures sont autonomes, plus le nombre de semi-conducteurs utilisés est important. Par exemple, une voiture autonome de niveau 4 exige

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Vous venez d’ouvrir un magasin et vous envisagez d’y vendre des produits relatifs à la charcuterie ? Dans ce cas, cet article est fait pour vous. Il vous présentera 5 techniques vous permettant de réussir votre projet d’ouverture de magasin. Il vous prodiguera également de meilleurs conseils pour bien présenter vos produits dans les rayons. Optez pour les bons produits La plupart des commerçants se ruent pour une grande variété de produits dans leur magasin. Leur but est de satisfaire au mieux les besoins des clients. Ainsi, les présentoirs sont bien remplis et nous pouvons y trouver toutes sortes de charcuterie. Toutefois, ce n’est pas toujours la meilleure solution pour réussir sa vente. Les clients ont besoin tout d’abord de produits de qualité. C’est pourquoi il est préférable d’opter pour quelques produits issus du terroir. Ciblez le bon endroit pour présenter vos produits Beaucoup de gens ne disposent pas beaucoup de temps pour faire leurs courses. En tant que gérant du magasin, vous devez les aider à trouver les articles, et ce le plus rapidement possible. Vous devez ainsi agencer les produits sur les rayons de façon à ce que les clients les voient dès le premier coup d’œil. Il est impératif de bien les agencer afin que les consommateurs ne passent pas sans les voir. Généralement, un magasin doit être réparti en deux zones : la zone chaude et la zone froide. La première est surtout réservée aux promotions ainsi qu’aux nouveaux produits. La zone froide, quant à elle, est destinée aux produits à faible marge. À vous de choisir où votre présentoir doit être placé. Donnez la bonne information et le bon prix pour vos produits La charcuterie est un domaine très délicat et qui demande beaucoup de savoir-faire. Les clients choisissent leur produit en fonction de sa provenance ainsi que la technique de fabrication. La plupart d’entre eux veulent des saucissons ou des jambons conçus de façon artisanale. Vous devez ainsi connaître tous vos produits : d’où viennent-ils ? Quelles sont leurs spécificités ? Comment ont-ils été fabriqués ? Ces informations doivent être affichées sur les étiquettes avec les prix. Pour ces derniers, certes vous voulez faire un peu de bénéfices. Cependant, vous devez faire très attention et vous référer au prix dans les autres magasins. Animez votre magasin tout en valorisant les produits Un magasin plein de vie attire facilement les clients. Les animations sont aussi un moyen de valoriser et de faire vivre les produits. Pour cela, n’hésitez pas à créer des événements autour de vos jambons, vos rillettes ou vos pâtés de foie. Il existe différents moyens de mettre en valeur des produits de charcuterie. Vous pouvez commencer par organiser un planning d’animations. Pour un meilleur résultat, choisissez un thème et les produits à mettre en valeur selon la saison. Le meuble pour saucissons Les saucissons figurent parmi les aliments les plus présents dans la gastronomie française. Lors des apéros, ce produit est souvent mis à l’honneur. Les saucissons sont des articles qui doivent

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Cette mesure annoncée par Bercy vise à anticiper l’éventualité d’une seconde vague, mais aussi à écouler les invendus accumulés depuis le mois de mai. Le temps de la pénurie et du rationnement semble bel et bien fini. Selon l’Union des industries textiles en France (UIT), le stock de masques invendus atteindrait 40 millions d’unités. Au plus fort de la crise sanitaire, alors que la demande était exponentielle, plusieurs dizaines de PME avaient réorienté leur production en direction de ce bien très rare que se disputaient médecins de ville, hospitaliers, commerçants et particuliers (mais aussi certaines administrations territoriales et préfectorales). Problème : cette fabrication de masse s’est, après le déconfinement du 11 mai, assez rapidement heurté à l’implacable réalité du marché : le ralentissement de l’épidémie a entraîné une baisse continue des commandes, une mécanique trop brutale pour permettre à la totalité des produits de s’écouler. Toutefois, ces masques « Made in France » vont sans doute retrouver un second souffle : mercredi, la secrétaire d’Etat à l’Economie Agnès Pannier-Runacher, a annoncé l’entrée en vigueur prochaine d’une mesure préventive qui obligera les entreprises à se constituer un stock capable d’équiper leurs salariés pendant dix semaines. Cette disposition s’inscrit dans une nouvelle stratégie sanitaire visant, en cas de seconde vague épidémique, à faire reposer l’effort de fourniture sur les entreprises, et non plus sur les services de l’Etat. Des productions…sans contrat En réponse à une question posée au Sénat par la présidente de la délégation aux entreprises, la sénatrice Elisabeth Lamure (LR) à propos des difficultés rencontrées par le TPE/PME qui ont investi de l’argent dans la production de masques, sans pouvoir les vendre, la Secrétaire d’Etat à l’Economie a rappelé à l’intention des employeurs qu’ils ont désormais à leur disposition une offre 100% française. Cette nouvelle obligation sera formalisée dans une note officielle à adresser aux entreprises et signée par Agnès Pannier-Runacher (Bercy), la ministre du Travail Muriel Pénicaud et le ministre de la Santé Olivier Véran. Afin d’étayer son argument, la collègue de Bruno Le Maire a cité l’exemple d’une entreprise tricolore qui aurait fabriqué « un stock de 20 millions de masques à usage unique » sans commande préalable ni contrat permettant de faire correspondre cette production à une demande. La Secrétaire d’Etat a aussi rejeté la faute sur certaines collectivités locales qui, après avoir sollicité des entreprises de leurs territoires, ont annulé des commandes.

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Depuis l’annonce du gouvernement sur la mise en place du confinement dû aux circonstances sanitaires exceptionnelles, la consommation d’électricité a fortement baissé (de l’ordre de 20% en moyenne). Une baisse notamment, en raison d’un arrêt instantané d’une grande partie de l’activité économique. Une telle variation de la consommation d’électricité sur un laps de temps aussi court est inédite ! Quels sont les impacts de cette baisse sur la sécurité et l’équilibre du réseau électrique ? L’équilibre du réseau électrique L’équilibre du réseau électrique entre la production et la consommation est un élément essentiel sur le territoire national. L’électricité est un bien indispensable à l’économie française et sans elle, bon nombre de secteurs ne pourraient pas continuer leur activité. Pour assurer l’approvisionnement en électricité à tous les consommateurs finaux, le réseau doit alors être constamment équilibré. Le profil de la consommation pendant le confinement Désormais, depuis le début du confinement, la consommation électrique en semaine, ressemble plutôt à la consommation d’un jour férié en temps normal. Fait bien évidemment expliqué par un fort ralentissement de l’activité économique. En temps normal en France, on observe une pointe de consommation le matin et le soir. Le rythme de la consommation journalière n’est plus le même et la montée en charge du matin est beaucoup plus lente que d’habitude et génère plutôt une pointe à l’heure du déjeuner. Cela peut s’expliquer par une utilisation réduite des transports en commun, au non-démarrage de l’activité dans certaines sociétés qui fonctionnent normalement en 2X8, à une heure de réveil plus tardive… La pointe du soir, elle, est visible aux mêmes tranches horaires qu’habituellement, vers 19h-20h. Moins de marge sur le réseau électrique La baisse de la demande d’électricité a pour conséquence l’augmentation de l’offre de production des moyens non pilotables, comme par exemple les énergies renouvelables ou encore certaines tranches nucléaires ou à gaz momentanément non flexibles. Le cas où ces moyens de production dépassent la demande, les gestionnaires de réseau peuvent être amenés à stopper des centrales conventionnelles de natures flexibles et qui assurent l’équilibre de la production et de la consommation à court terme. En raison de la baisse de l’activité économique et notamment de l’activité industrielle, le réseau électrique se retrouve avec une capacité d’effacement inférieure à celle de d’habitude. Pour maintenir l’équilibre du réseau électrique, RTE peut activer des capacités d’effacement par l’intermédiaire des opérateurs d’effacement via différents mécanismes, comme par exemple le mécanisme d’ajustement et le mécanisme de capacité ; ou encore l’appel d’offres effacement. L’activité industrielle étant fortement réduite, la consommation électrique dans ce secteur est moindre, et la possibilité pour les sites de moduler leur consommation d’électricité se réduit donc également. Ce qu’il faut retenir Le confinement lié au covid-19 a pour conséquence une baisse significative de la consommation électrique et un changement des courbes de consommation. Il faut donc adapter les méthodes d’équilibrage du réseau électrique.

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Le tissu productif français se caractérise par un petit nombre de grandes entreprises et un très grand nombre de PME voire de très petites entreprises (TPE). Or, les PME ne captent que 32 % des marchés publics en valeur, ce n’est pas conforme à leur place dans l’économie, cette part devrait dépasser les 50 %. Avec le relèvement du seuil de dispense de procédure de passation des marchés publics de 25.000 € HT à 40.000 € HT, Agnès Pannier-Runacher, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, estime que l’objectif est là. Les PME n’accèdent pas assez aux marchés publics, elles ne se positionnent pas assez sur des « lots » de marché et ne présentent pas assez d’offres « groupées » avec d’autres entrepreneurs pour gagner des parts de marchés.Selon les tenants de la simplification, la proactivité des TPE et PME dans les marchés publics doit s’affirmer comme une nécessité, un enjeu de long terme. Se faire connaître des acheteurs publics, c’est-à-dire déployer une « stratégie de séduction », sera d’autant plus nécessaire que les marchés sans publicité préalable ni mise en concurrence vont se développer dans les prochaines années. Le marketing achat d’une collectivité vise à conforter sa renommée en tant que donneur d’ordre régulier pour différents types d’approvisionnement. Les acheteurs publics vont pouvoir élargir leurs contacts professionnels et attirer de nouvelles entreprises auparavant rebutées par les démarches de candidatures. Si le seuil des 40.000 € HT est une opportunité, un gage de transparence selon certains, certains projets vont être plus difficiles à identifier puisque ne faisant plus l’objet d’une publication réglementaire. Les PME vont pouvoir libérer leur créativité afin de mieux comprendre les enjeux des donneurs d’ordre publics qui, rappelons-le, sont estimés à 130 000 en France, qu’ils soient locaux (collectivités territoriales, établissements publics) ou nationaux (État, établissements publics nationaux comme les musées, les entre hospitaliers, etc.). Pour détecter de nouveaux marchés et suivre les signaux faibles de la commande publique, les moyens ci-dessous vont se confirmer : analyser les vœux des maires et s’informer des délibérations des conseils municipaux via leurs sites internet ou dans les services des communes, consulter les seuils de marchés publics sur le portail d’appel d’offre France Marchés utiliser les services de veille électronique des journaux d’annonces légales comme Actulégales ou des sites des acheteurs, à l’instar du BOAMP rechercher par mots clés correspondant à votre secteur d’activité des appels d’offres sur les portails et services de veille Les enjeux de sourcing vont se rapprocher des enjeux de communication pour les TPE et PME françaises. Des méthodologies nouvelles vont devoir être posées, avec des moyens humains et financiers, ce qui ne sera pas chose aisée, surtout pour les TPE, qui ont besoin démystifier les marchés publics tant les opportunités sont nombreuses.

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L’essor technologique touche tous les secteurs d’activités. Le transport routier en fait partie intégrante et ne cesse de faciliter la tâche des transporteurs de marchandises et de palettes en camion ainsi que les convoyeurs de colis. Il s’agit d’une révolution numérique qui gagne de la place en France et qui s’est invité sur les Smartphones. Cela permet aux camionneurs et aux professionnels de travailler efficacement. Connaître le principe de cette révolution Il s’agit d’une application numérique qui optimise le chargement des camions pour le transport routier. Lancée par la société française Chronotruck, on parle ici d’une véritable solution qui simplifie la recherche de fret aussi bien que la recherche de camion vide pour la livraison de marchandises. Sans compromis de qualité, l’application est accessible aux professionnels du transport routier. L’application concerne les conducteurs de camions aussi bien que les entreprises qui ont besoin d’expédier des palettes. Elle permet de profiter de nombreux avantages, dont la ponctualité, l’absence d’intermédiaire et la sécurité du trajet grâce à un suivi efficace. La démarche peut être faite par le simple biais d’un mobile, sans besoin de faire le tour de la ville pour trouver un camion disponible. Un concept qui facilite la relation transporteur-entreprise Chronotruck met en relation directe les chargeurs disposant de palettes à convoyer avec les transporteurs possédant de l’espace vide dans leurs camions. Ainsi, les entreprises peuvent économiser sur leurs budgets de transport et la livraison de marchandises. Un camionneur inscrit sur l’application peut recevoir une offre de chargement durant son trajet ou pendant son retour à vide. Il peut accepter l’offre si l’espace disponible correspond au volume des colis à livrer et si sa position permet le respect du délai de livraison. Les entreprises quant à elles peuvent voir la position des transporteurs disponibles et les contacter facilement grâce à l’application. Le transporteur et l’expéditeur peuvent échanger sur la plateforme et se mettre d’accord au sujet des conditions de livraison et de chargement. Une révolution pour une géolocalisation parfaite Chronotruck vise une mise en relation parfaite entre les deux acteurs du transport routier. Elle garantit une communication en temps réel grâce à un système de géolocalisation précis et fiable. Une livraison express est assurée, car le temps d’approche est réduit. De son côté, le transporteur n’effectue plus un trajet à vide, car le trajet des camions est optimisé. Le coût réduit représente un autre atout de la géolocalisation. Vous pouvez bénéficier d’un tarif très raisonnable en étant utilisateur de ce concept révolutionnaire, largement plus compétitif que celui pratiqué sur le marché. Il est possible que vous fassiez des économies.

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